Interview

Cyril, Lead développeur front-end

Après avoir passé 5 ans chez Pictime en tant que développeur web puis référent technique, et 2 ans chez Nacon en tant que développeur front-end, Cyril rejoint Dalt en 2022 comme Lead développeur front-end. Fan de musique et grand collectionneur de vinyles, il est LE roi des vannes et de la répartie (enfin d’après lui…).

Explique-nous ton métier chez Dalt

Je suis Lead Développeur Front-end, je produis sur les différents projets. Je veille à la qualité de code qui est fournie par les développeurs front. Je les accompagne, et s’il y a des soucis techniques, j’aide à les régler. Je m’occupe également de faire monter en compétence l’équipe sur différents sujets techniques, grâce aux ateliers que j’organise à l’aide de ma veille. En plus de ça, je suis présent lors des avant-ventes pour étudier le besoin du client, et pour pouvoir proposer la solution technique la plus appropriée.

Quel est ton plus grand défi quotidien ?

La remise en question perpétuelle sur la manière de faire. On peut vite s’enfermer dans une méthode de travail et dans ses techniques. Se remettre en question permet de voir que de nouvelles choses sont sorties, d’améliorer notre geste.

Quelles sont les qualités indispensables pour ton poste ?

La curiosité est le premier point auquel je pense, il faut aimer chercher, fouiller, découvrir, tester. En plus de ça, il faut un bon esprit d’analyse et avoir une vision critique de notre travail, pour voir si telle ou telle chose a un intérêt ou non. Il faut également être capable de transmettre aux autres les compétences acquises, et donc être pédagogue.

Comment faire pour rester à la page dans un métier aussi évolutif ?

C’est principalement de la veille, aller voir ce qui se fait chez la concurrence, passer du temps sur le net pour trouver des articles qui parlent de nouveaux sujets. Pour ma part j’écoute des podcasts qui permettent de m’ouvrir à de nouveaux horizons, et je suis des blogs et des comptes twitter spécialisés.

Pour finir parlons perso … un plaisir coupable à nous partager ?

C’est de mettre des +4 au Uno le midi, et je dirais même de le garder comme dernière carte !